18 juillet 2014

Sushi et bento: une fois n'est pas coutume!

Je n'aime pas tellement les sushis.  En fait, je déteste les algues et les sushis qui en contiennent.  Quant aux autres, ceux ou un morceau de poisson cru est déposé sur un bloc de riz, j'aime ça au départ mais je m'en tanne après deux morceaux.  Pour moi, ça ferait une bonne entrée, pas un repas!  Voilà donc pourquoi je n'avais jamais préparé de sushis avant hier.

Tout a commencé il y a quelques semaines quand mon fils aîné a découvert les lunchs japonais, les bento, dans le tome 4 de la série Les Dragouilles: Les rouges de Tokyo.  Il voulait manger un "dragobento"!



Ça non plus, les bento, ce n'est pas trop mon genre.  Pour moi, le bento est au lunch ce que le gâteau en forme de bonhomme Lego en trois dimensions avec 8 couleurs de crémage et 5 accessoires (nécessitant 7 heures de travail et coûtant au moins 40$ de matériel) est aux gâteaux d'anniversaires... Or, je suis plutôt du genre à miser sur le goût en préparant un délicieux gâteau rond ou rectangulaire, recouvert uniformément d'une seule couleur (naturelle: blanc cassé ou brun chocolat!) de crémage, avec des petits fruits ou des pépites de chocolat pour écrire en gros le nombre d'années du fêté...  Alors préparer un bento?  Certainement pas au quotidien!  Mais pour une fois, pourquoi pas!

Voici donc mon premier sushi à vie, préparé selon la recette du livre de mon fils, donc en forme de dragouille s'il vous plaît:


Le bento au complet ressemblait à ceci "avant", c'est-à-dire au moment de partir avec notre lunch.


Notez le ruban à mesurer pour montrer que pour suivre le plan du livre (avec quelques modifications selon les goûts de mon fils, comme des bleuets au lieu des tomates cerises et du beurre d'arachides au lieu du fromage à la crème dans les céleris, ou selon mes goûts, donc pas d'algue dans le sushi), il fallait un plat énorme.  Je ne crois pas que les Japonais traînent ça à l'école...  Ils mangent peut-être moins que mon grand costaud toujours affamé, surtout lors d'une randonnée de 25 km de vélo...  Justement, voici le bento après 13 km.  Le sushi et sa belle présentation ont un peu souffert... mais ils ont été quand même rapidement engloutis!  Mission accomplie!


Référence: CYR, Maxime et GOTTOT, Karine.  2012. Les rouges de Tokyo, Éd. Michel Quintin, Coll. Les Dragouilles, 87 p.

1 commentaire:

Anonyme a dit...

hi! hi! Bravo Lucie!

Jacinthe